Lettres signées et autographes

Lettre signée. Adressée de Paris à madame la princesse d'Orange : Charlotte de Bourbon-Montpensier, troisième femme de Guillaume le taciturne, Prince d'Orange. Datée du 18 mars 1578. Elle charge le Sieur Revest que le Roi son fils lui envoie, de l'assurer de l'amitié et de la bonne volonté qu'elle lui porte[…]. Dans une farde de la Maison Charavay à Paris.

Lettre tapuscrite en anglais, signée. Datée de Londres 19th March 1938, adressée à Mr. Maudslay. L’auteur y accepte son invitation, mais semble soucieux et souhaite y rencontrer le moins de monde possible.

Document tapuscrit, 2 ff. Signé et daté (12/08/63). Quelques corrections à l’encre. À propos de la bataille d’Arnheim-Nymwegen. Bittrich est né le 26 février 1894 à Wernigerode et mort le 19 avril 1979 à Wolfratshausen, c’est un pilote de chasse de la Première Guerre mondiale et un SS-Obergruppenführer und General der Waffen-SS de la Seconde Guerre mondiale.

Carte de la fontaine de trevi, 9 x 14. Signature autographe. Formule de remerciement, adressée de Rome le 5 mai 1910.

Manuscrit, 2 ff. À propos de l’exposition «L’estampe japonaise moderne» au Musée des arts décoratifs de Paris.

Lettre autographe signée de l’actrice et peintre Sarah Bernardt (1844-1923) adressée à son fils Maurice. Lettre bordée de noir en signe de deuil de son mari décédé en 1899. On y joint deux portraits photographiques de l’actrice signés : « Souvenir très très sympathiques, Sarah Bernardt, 1901 » et « À Mme Irina Dreyfus, Souvenir de Sarah Bernardt ,18** ».

Lettre autographe signée de François-Joseph Talma comédien à l’académie française (1763-1826). Il préviens M. Compère que « le répertoire ayant changé depuis samedi, sa lecture aura lieu vendredi prochain à midi et demi. » On y joint une lettre autographe signée (2 pages in-8) de la comédienne et directrice de théâtre à Versailles puis au Palais-royale Mademoiselle Montansier (1730-1820) datée du 19 février 1779. Elle réclame un payement qu’on lui a diminué : elle a reçu un mandement de 1000 livres. Il était pourtant convenu avec le maréchal de RICHELIEU qu’il examineraient à l’assemblée des Premiers Gentilhommes de la Chambres sa réclamation « des 1600 II qui mont été diminué pour les fois que la roine [MARIE-ANTOINETTE] a honoré mon spectacle de sa présence… ». Elle compte sur son interlocuteur pour décider MM. les Gentilshommes de la chambre de lui verser ces 1600 livres, auxquels le Maréchal de Richelieu consent. On y joint Une lettre autographe signée de la comédienne Mademoiselle Mars (1779-1847) à une voisine elle-même actrice. Il se pourrait qu’il s’agisse de Catherine Joséphine Duchesnois. Toute deux habitaient dans la même rue de la Nouvelle Athènes– quartier de l’élite du mouvement romantique parisien. On y joint une lettre autographe signée de la célèbre tragédienne française Mademoiselle George (1787-1867) Accompagnée d’une ordonnance du docteur Jean-Alexis Belliot datée du 21 janvier 1836 concernant les douleurs articulaires de la comédienne. On y joint une lettre autographe signée de la comédienne belge Eugénie Doche (1821-1900), accompagnée d’un portrait photographique sous format carte de visite pris par Ch. Reutlinger. On y joint portrait gravé de la comédienne Delphine Fix (1831-1864) tiré d’un portfolio du théâtre français (21,5 x 30), avec un fac-similé d’un manuscrit de présentation d’Amédée Auchard signé par Fix avec les mots « Donné à Lachaume ». Taches et mouillure. On y joint [PHILATÉLIE]. Deux enveloppes premier jour de la collection « Les grands comédiens français » : RACHEL et TALMA.

Lettre autographe signée de la tragédienne française Élisabeth Félix dite Rachel (1821-1858). « […] Jeudi on donnera encore Melle de Belli-Isle et s’il vous plaisait encore, Madame, de m’entendre dans cette pièce, je vous garderai très volontiers une bonne loge […] ».On y joint un portrait gravé de Mlle Rachel, 23 x 16 (imp. D’aubert & Cie) ; 2 portraits photographiques format carte de visite de Rachel (cliché pris par A. Villeneuve et Mayer & Pierson) ; Une carte postale représentant la Villa Sardou dans Le Cannet, où est morte Rachel.On y joint une lettre autographe signé et oblitérée de l’actrice Marie Dorval (1798-1849) à un de ses soupirant Victor Herbin (Charles Victor Hennequin), journaliste et auteur dramatique. « Les témoignages de votre amitée me sont bien précieux vous avez une franchise de cœur qui fait qu’on vous désire pour ami dès qu’on vous […] ». Accompagnée de deux prospectus pour la première représentation des pièces La Tisbée et Clotilde dans lesquelles Marie Dorval tenait les premiers rôles. On y joint Un lettre autographe de Cléopâtre Diane de Mérode (dite Cléo de Mérode), danseuse et icône de beauté française (1875-1966) adressée à M. Oudet. Également amante du roi Léopold II, on joint 4 cartes postales caricaturant leur aventure.

Lettre autographes de 2 pages in-8 signée de la comédienne Cécile Sorel (1873-1966). En-tête de la Comédie Française. « Mon cher administrateur, mes chers camarades. J’ai la fièvre et dois garder la chambre, vous me voyez désolé d’être privée de l’honneur et du vif plaisir de me trouver au comité parmi vous […] » On y joint une photographie de Mistinguett dédicacée : « À Nenette mon amitié. Mistinguett ». Cliché, 28,5 x 21, pris par Lucien Walery. On y joint 10 portraits photographiques format carte de visite d’artistes de la belle époque : Edmée Favart, Germaine Gallois, Lucien Guitry, Caroline Otéro (2 pièces), Réjane (2 pièces), Cécile Sorel, Mlle Henriot, représentation de la pièce « le billet de logement » au théâtre des Folie-Dramatique (cliché de Paul Nadar).

Lettre autographe in-8 avec l’en-tête du ministère de la guerre, signée du marquis Gaston de Galliffet (1831-1909) à propos d’un rendez-vous. Il ajoute en P.S. : « J’ai quelques petite choses à vous dire dans un coin au sujet de l’armée française ». Cette lettre est accompagnée d’une carte postale oblitérée représentant Galliffet – surnommé le marquis aux talons rouges – en pleine répression de la Commune de Paris.On y joint 5 portraits photographiques de personnalités marquant la commune de Paris : Clémenceau, Les pères Gaspard Deguerry et Georges Darboy, tous deux fusillés pendant la Commune (clichés pris par Pierre Petit), Edouard Lockroy (cliché pris par Guy Pirou) et le général Alfred Chanzy.